Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 14:08

Lundi soir, j’ai rejoins des amis dans le 13ème, une soirée entre amis pour se changer les idées. Tu m’avais quitté le vendredi précédent. J’étais triste.


La soirée défilait étrangement, ton absence me pesait, ma présence me paraissait absurde, ma tenue volontairement sexy par contradiction à mon état d’esprit avait de l’effet sur chaque personne présente. Cela me distrayait, je refusais de souffrir et m’enfermais dans ma propre image. L’image non pas d’une fille détruite par cette rupture mais celle d’une jeune femme sexy avec tout son avenir devant elle. Je me mentais, je ne voulais pas souffrir plus. Mais tout avait goût de faux.


Je pensais à ce moment avoir décidé de t’oublier, de ne plus réfléchir, de me laisser aller, mais je me rend compte que mes pensées étaient tournées vers toi, que plus je résistais plus tu étais présent. J’ai bu, un peu, Rocco et moi discutions, nous rapprochions et échangions des regards charmeurs.

Je lui ai suggéré de s’installer plus près de moi, moi allongée sur le ventre, lui sur le dos sa tête posée sur l’arrière de mes cuisses, nous formions un T qui lui permettait parfaitement de voir la naissance de mes fesses sous ma jupe. Et il est resté longtemps à se rincer l’œil gratos dans cette position, sans me toucher, posé et calme, rassurant près de moi. Je n’avais pas envie d’être seule et il était la compagnie dont j’avais besoin.


Il se faisait tard les autres ont commencé à s’activer pour aller se coucher, j’ai demandé à ma copine si je pouvais rester prendre un bain chez elle. Aucun problème. J’attendais une réaction de la part de Rocco "bonne idée un bain je t’accompagnes ?" m’a t-il chuchoter. J’ai répondu oui avec un regard coquin, il me semble qu’il a été surpris.

Je lui ai demandé de prendre de la musique à écouter et je suis allée faire couler le bain.

Nous nous retrouvons seuls dans la salle de bain…

Nous n’étions pas à l’aise face à face et je me forçais à ne pas penser à toi, nous nous sommes approcher l’un de l’autre pour nous embrasser, je ressentais le désir qu’il avait pour moi et j’obtenais enfin ce qui me manquait depuis si longtemps un long baiser empli de désir, ses bras qui m’étreignait et dans lesquels je commençais à avoir envie de m’oublier.

Nous avons pris notre temps l’eau était trop chaude, j’ai retiré son T-shirt et il a fait de même pour moi, il m’a serré fort et j’ai senti son corps me réchauffer, un sentiment de bien-être m’a envahit. Il a continué à me déshabiller, laissant glisser ma jupe le long de mes jambes, ses mains se baladaient sur mon corps mais il restait timide. J’ai retiré ce qui lui restait de vêtements j’ai ôté mon string et nous nous sommes retrouvés nus, face à face, très proches physiquement mais si lointains. Rien ne nous liait.

Il bandait, sa bite était d’une bonne taille, plus longue que la tienne mais moins épaisse. Légèrement courbée vers son ventre. Elle ne m’a pas parut belle mais j’en ai eut envie, envie qu’il me serre très fort et s’enfonce profondément en moi.

J’ai commencé à le branler, son manque d’initiative commençait à m’ennuyer, le désir qui émanait de lui suffisait pour l’instant à me maintenir dans un état d’excitation mais je voulais qu’il me touche, qu’il me désire encore et encore, je le voulais fou de moi et incapable de se contenir.
Il s'est éloigné de moi et a sortit un préservatif de son porte-feuille. J'ai éprouvé un sentiment de malaise, nue et facile, mais je n'ai rien dit, j'ai attendu qu'il revienne vers moi. Dire que j’ai eut l’impression d’être une pute à ce moment serait exagéré, mais offrir mon corps à un autre que toi, à un corps inconnu dont il fallait se protéger, ce n'était pas comme me faire baiser devant toi (* voir article sur Drics). Je te trompais.
Ses mains, puis ses lèvres se sont posées sur moi et je l'ai sentit se glisser en moi. C'était bon, j'ai aimé qu'il me penètre. J'étais face à lui, mes fesses en contact avec la porcelaine froide du lavabo.. Il effectuait de longs et lents va-et-vient, je sentais chaque centimètre de mon intérieur. J'avais très envie de me faire baiser, doucement, lentement puis de plus en plus fort. Mais il est venu, à peine expressif, je l'ai senti se contracter puis se détendre et j'ai su qu'il venait de jouir. Il s'est retiré peu de temps après maintenant le préservatif. Désagréable sensation que ce plastique gluant qui sortait de moi, flasque, rempli de sperme dont je ne connaissais pas le goût.
Le tout n'a duré que quelques minutes, j'étais frustrée mais soulagée. Lui me souriait sans se poser de question.

J’ai pris sa main et je me suis glissée dans le bain. Il m’a rejoint et s’est installé derrière moi. Nous avons discuté comme ça des heures, il me massait le dos, le cou, la chaleur du bain et la musique me détendait.

Nous ne nous sommes plus caressés, nous avons seulement discuté, surtout de lui, de sa famille, de sa banlieue, de ses potes, une question bien placée de ma part suffisait à le faire parler longtemps, je reprenais ma place de passive, j’écoutais.

Puis nous avons échanger de places je ne saurais dire qui l’a proposé mais je me suis glissé derrière lui afin de le masser, nous n’avons plus parler, je n’avais pas envie de parler de moi et lui s’endormait entre mes mains. Il n’y avait plus rien de sexuel, plus d’envies ni de désirs, nous étions juste bien. Il continuait de bander pourtant.

L’eau est devenue froide je crois que 2h/2h30 sont passées comme ça. Nous sommes sortis et j’ai vu réapparaître le désir dans son regard...

Il s'est approché de moi pour m'embrasser, il me caressait les seins doucement et s'est remis à bander.
"On dort ici" m'a-t-il demandé. "Non je préfère chez moi". Je lui ai proposé de finir cette nuit dans notre lit. Dans la chambre dans laquelle toi et moi, nous avons crée tant de souvenirs. Je le regrette.

Après avoir bu un rapide verre, nous nous sommes mutuellement déshabillés dans la chambre. J'aimais le manière dont il me déshabillait, avec tendresse, et la queue bien tendue.
Je l'ai branlé à nouveau en malaxant doucement ses couilles avec mes doigts, il a eut un sursaut lorsque j'ai pris ses testicules au creux de ma main, puis il s'est détendu. Il bandait plus fort, je savais que ça l'exiterait plus encore.
Nous sous sommes glissés sous la couette, allongés face à face nous nous sommes masturbés, pendant que je branlais sa bite, il a glissé sa main entre mes cuisses, très doucement, jusqu'à atteindre mon sexe. Il était un peu maladroit mais je mouillais déjà. Je n'aime pas que l'on glisse ses doigts à l'intérieur de moi, je n'aime pas me faire doigter la chatte, je préfère qu'on y glisse sa bite, c'est comme ça. Je l'ai laissé faire sans simuler, il s'est occupé un peu de mon clitoris et je lui ai fait comprendre que j'appréciais plus. Il m'a demandé si j'avais des préservatifs et j'ai pris les tiens, je les avais ranger dans la boite à cochonneries près du lit, fière de mettre en boîte ton infidélité, pour toujours esperais-je, et là j'étais en plein délit d'adultère..
Il l'a enfilé rapidement et est revenu se posé sur mon corps, il m'a pénétré doucement et j'ai senti sa verge glisser centimètre par centimètre au fond de moi. J'aime les bites courbées, c'est le deuxième que je connaisse qui soit membré ainsi et c'est toujours aussi bon. Le premier était devenu un amant.
Ses tendres et répétitits coups de reins m'ont ennuyé une fois de plus, je voulais qu'il se laisse aller à autre chose, j'ai tenté de lui faire comprendre en le redressant, peu de changements.. "Baise-moi !" lui ai-je laché. Il fut surpris, déstabilisé même, il m'a ignoré et a jouit quelques minutes après. Il s'est allongé près de moi et s'est endormi je crois. Une fois ma frustration calmée je me suis endormie à mon tour..
Nous avons dormis quelques heures, la lumière pénétrait la chambre (je n'avais pas fermé les volets), il fixait le plafond pensif. Je ne sais plus comment nous en sommes arrivés là mais il m'a confié que son ex refusait toute "innovation" sexuelle. J'ai compris que mes paroles cette nuit l'avait un peu perturbés (je m'étais moi-même surprise à l'entendre).
Il s'est tournée vers moi pour m'embrasser, j'ai pensé qu'il était bien moins charmant sans ses lunettes, il s'est allongé sur moi sans me pénétrer, il bandait déjà, je ressenti un soulagement de savoir que je l'exitait encore. La proximité de nos corps m'exitait follement, je n'aime pas les préservatifs, j'aime le contact direct de la peau, j'aime sentir une bite en moi sans obstacle. Mais je ne le connaissais pas et je suis bien trop au courant des risques, je lui ai tendu un des préservatifs que j'avais laissé trainer à côté du lit. Il l'a enfilé rapidement avant de m'enfiler à mon tour.

C'était doux et je sentais bien sa bite en moi, ces quelques heures de sommeil et de répit pour ma petite chatte lui avait permis de se refermer. C'était agréable mais je ne pris pas de plaisir ce matin là.

Nous sommes quitté dans un long baiser "à bientôt" m'a-t-il sussuré avec un sourire.

Il est parti tôt pour être en cours à l'heure, sans prendre de douche, et j'ai aimé l'idée qu'il passe sa journée dans l'odeur de nos ébats passés.

Par G. et S.
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