Le blog de G. et S.

Bonjour, Je vous avais, il y a quelques temps envoyé un mail avec des suggestions de scenarii... aucune réponse. Pour m'assurer que vous l'avez bien reçu (la technique est parfois capricieuse...) je le poste à nouveau en commentaire. Avant tout, je tiens à vous dire que Votre blog est vraiment une réussite ! Vous démontrez qu’on peut aller très loin dans l’exploration des fantasmes, sans pour autant sombrer dans le sordide. Comment expliquer que les situations dans lesquelles se retrouve G., les postures qu’elle doit prendre sont empreintes d’une charge érotique exceptionnelle et d’un raffinement hors norme : J’ai noté avec plaisir que G. est souvent contrainte, dirigée, guidée (victime consentante, bien entendu). Je crois que c’est dans ces situations qu’elle suscite le plus de désir chez moi. Il émane d’elle une fragilité et une grâce que je me plait à imaginer soumise à diverses fantaisies. Quand j’ai lu que vous cherchiez des scénarii… Je n’ai pas hésité…Mettre en scène une G. soumise par mes mots serait un plaisir. Si vous êtes tentés par une de mes idées, je serais ravi d’écrire pour vous une histoire que vous pourriez mettre en images, comme vous savez si bien le faire. Vous trouverez ci-dessous une série d’idées et de thèmes qui m’inspirent. (Si l’un d’entre eux vous tente, contactez-moi par mail, pseiller92@yahoo.fr, et j’écrirais l’histoire complète en détail, avec tenue vestimentaire et scénario complet) : L’enlèvement (Style Executive woman, dessous classiques, talons… à détailler si affinités) G. est enlevée en pleine rue, jetée à l’arrière d’une voiture. Bâillonnée, aveuglée, les mains liées au dos, elle est conduite vers une maison inoccupée. Là, ses geôliers, profiteront de la belle à leur merci pour jouer avec elle. Lente Mise à nu de ses charmes, postures diverses seront au programme. (A noter : Ce scénario requiert le « sacrifice » d’un chemisier et d’un soutien gorge. En effet, pour dénuder le haut du corps de G., ses mains ne seront pas déliées, ciseaux ou canif viendront à bout des délicates étoffes) Elle découvrira tout à la fin qu’il s’agissait juste d’une Mise en scène de S. qui aura immortalisé son fantasme en photographiant, avec ses complices, l’intégralité de la séance… (les dits comparses seront représentés uniquement par l’œil de l’appareil photo. Comme dans les autres scénarii, d’ailleurs… Il ne s’agit pas de faire vivre à G. une séance de pluralité masculine… Le dîner chez le consul : (Tenue très raffinée que je détaillerai le cas échéant) G. et S. sont conviés à dîner chez le consul d’une ex-république soviétique. Relation d’affaires de S., le consul est un séduisant mais énigmatique quinquagénaire que G a déjà vu une fois. G est inquiète à l’idée de revoir cet homme aux yeux gris métalliques dont le regard avait longuement parcouru son corps lors de leur première rencontre dans un cocktail au Bristol. Sans aucune gêne, il avait détaillé la courbe de ses seins moulés par le satin du fourreau qu’elle portait ce soir là. Comme elle avait maudit le dos nu intégral de sa robe qui avait interdit le port de tout soutien gorge… Comme elle s’en était voulue de sentir la pointe de ses seins se dresser sous l’insistance du regard de cet homme. Elle s’en était nerveusement mordue les lèvres toute la soirée. Le rouge lui était monté aux joues quand, alors que S. était en pleine discussion avec le consul, elle avait, par le biais d’un jeu de Miroir, vu le regard insistant de ce dernier posé sur la courbe de ses reins. Elle avait ressenti presque « physiquement » un contact qui suivait la trace invisible de l’élastique du string qu’elle portait ce soir là, pour se perdre entre les délicieuses rondeurs de ses fesses et s’insinuer sous le tulle pour venir frôler ses lèvres intimes. Elle était tellement troublée qu’elle ne pensa pas une seconde à réagir. N’importe qui aurait agi de la sorte avec G., aurait aussitôt connu l’humiliante d’une gifle sonore. Mais le consul la paralysait littéralement. Et S. qui n’avait rien remarqué, tout à l’interminable conversation qu’il menait avec le diplomate. G. ne comprenait pas le Russe et était à des lieux de penser qu’elle était le sujet central de la conversation…. Mais revenons à notre dîner : A leur arrivée dans la salle à manger du consulat, G constate très vite qu’ils ne seront que tous les trois à dîner. Belle table dans un coin du salon, vaste salon avec canapés et fauteuils, table basse sur laquelle trône un seau à Champagne garni et rois coupes. Les coupes sont servies par un maître d’hôtel qui, rapidement s’éclipse. G. est à des lieux d’imaginer que ce dont lui a parlé S. il y a quelques mois va se produire ce soir : « Un jour, je t’offrirai à un homme devant moi… un homme directif qui te dirigera. Un expert en soumission féminine qui testera tes qualités. Ce jour là, j’aimerais te voir obéir en tout point à ses directives, que tu soies, le temps d’une soirée, un objet de plaisir docile et soumise… » Elle avait ri à gorge déployée en entendant ce discours et, par provocation ou par bravade (à moins que ce soit par une envie inavouée d’explorer les terres obscures du Divin Marquis avec un inconnu?), elle avait accepté le défi et promis de ne pas se dérober le moment venu. Elle ignore juste que c’est pour ce soir… Le cours d’anatomie féminine. (Tenue de ville, tailleur ou robe, à définir…) S. a promis d’héberger le fils d’un de ses amis. Le jeune homme, beau comme une statue grecque est d’une timidité maladive notamment avec les filles. Il avoue un soir n’avoir encore jamais connu intiment de fille. G. sera habilement Mise à contribution par S., tout d’abord pour rassurer le jeune homme sur les relations homme-femme, puis très progressivement, il la conduira à aller de plus en plus loin pour faire découvrir au jeune homme, le corps d’une femme et ses points sensibles. G. très gênée et réticente au début, sera adroitement convaincue par S. et de fil en aiguille sera progressivement dévêtue et offerte aux regards du jeune homme. Les positions qui lui seront imposées, les commentaires sur la sensibilité de telle ou telle zone, autant que les explications sur le plaisir féminin ou la façon dont on peut prendre du plaisir avec le corps d’une femme achèveront de troubler notre chère G. La Douane (Tenue Sport… nous sommes à la frontière entre l’Autriche et la Croatie) Ah ce sac malencontreusement échangé lors de la halte dans la dernière station Service avant la douane… ! Il a dû être étonné le propriétaire du sac de sport que G. a malencontreusement confondu avec le sien, en découvrant les petites culottes et la trousse de toilette qu’elle contenait… Pas autant que G., S. et les douaniers qui en ouvrant l’autre sac découvriront un stock de montres Gucci, Cartier ou Breitling… contrefaçons parfaitement imitées… G. est immédiatement séparée de S. et conduite dans un austère bureau pour un interrogatoire au fil duquel les douaniers comprendront très vite que G. et S. sont de bonne foi. Mais les regards complices des fonctionnaires et les coups d’œil appuyés sur la plastique de notre délicieuse G. les convaincront qu’il n’y a pas de véritable interrogatoire sans fouille au corps… Et comme il n’y a aucune douanière, ils vont se dévouer… Positions de fouille, palpation, vérification que G. ne cache aucun joyau dans les replis intimes de son anatomie et mise à nu partielle ou totale en fonction du degré de coopération de notre charmante G. Au plaisir de vous lire Pascal pseiller92@yahoo.fr

C'est un super blog! je suis moi-même soumise à Maîtresse Judith et quand je vous lis, je comprends mieux le plaisir qu'éprouve un maître à posséder une soumise bien dressée... Modestement, voici mon blog: http://luce-chienne-soumise.erog.fr/ ,vous constarez que je ne suis pas à votre niveau... Bonne continuation

Sexe and trash