Un nouveau manteau, noir, et l'excitation m'envahie.
Je fouille dans les dentelles de sa lingerie et sort une paire de bas noirs. je les lui tends ainsi que le manteau, elle me regarde incrédule. Elle se déshabille devant moi, en plein doute, presque a regret. Elle est la nue devant moi frêle , lisse et douce, elle lève son regard bleu plein de désapprobation sur moi : le manteau est largement fendu derrière on pourra voir ses fesses et son sexe si le tissu s'écarte.

Elle renâcle, proteste, se braque : non elle en sortira pas dans cette tenue ! elle transige, exige je crie puis cède sur de mon fait : soit elle peut porter une minijupe, mais seulement une minijupe, je sais que quand son excitation naîtra et grandira elle finira nue.

Nous sortons, elle est toujours tendue. Un verre, elle refuse les fléchettes, boudeuse...La nuit est tombée l'air froid du dehors me saisi, je bande en pensant a son sexe nu sous sa jupe, je rêve d'être le filet d'air qui caresse sa fente lisse.
Je passe mes mains sous sa petite jupe trouve la peau fragile pleine de chair de poule, le froid ou l'excitation ?

Une impasse sombre qui mène a un chantier, j'aime ses endroit glauques, le contraste entre la peau fine d'une femme et le béton brut, entre le parfum délicat de ses chaires et l'odeur brutale de bois brûlé et de poussière, entre sa peau fine et douce et la saleté environnante.

La jupe tombe son regard a changé je la sais désormais excitée elle prend la pose timidement puis de plus en plus franchement. D'une voix voilée je la guide dans ses poses, mes mains se posent sur son corps, je chercher a faire grandir son excitation. D'une main ferme j'écarte ses cuisses et caresse son sexe, trempé.

Son souffle se fait plus fort elle cherche a se coller a moi mais je la repousse et fait crépiter le flash.

Un voisin s'inquiète des éclairs et manque de nous surprendre , de la surprendre la chatte au vent, la chair claire de ses cuisses qui tranche sur le noir des bas.

Je la guide vers une autre impasse, je sais qu'elle attend depuis longtemps que je la prenne là.

Une lumière qui s'allume, un nouveau coup d'adrénaline elle se rebiffe. Je la serre contre moi et la guide, j'en veux plus, mon sexe raide me fait mal emprisonné dans mon costume.



Qui se douterai de la luxure qui habite ce joli petit couple, elle classe dans son manteau et ses talon ,lui irréprochable dans son costume sombre. Et pourtant je convoite son sexe, sa fente que je sais ouverte et humide d'excitation et elle se cambre féline impatiente de m'exciter plus encore.


Elle s'expose de plus en plus , impudique me découvre ses petits seins de lolita tendus par le frais du crépuscule, me dévoile la fente lisse de son sexe. Je l'encourage de mots crus ne peux m'empêcher de palper ses petites fesses.


Elle s'offre, se tend me tend son cul, tendue sur ses talons, un moteur de voiture le faisceau de phares, fausse alerte, je sors mon sexe et n'en pouvant plus je m'enfonce dans son corps bouillant.



Je la prend fort elle s'incruste contre moi , nos corps soudé, plaisir des sens, violation de l'interdit.




Elle se mord les lèvres je pose ma main sur sa bouche étouffant ses gémissements. Ses petites fesses se lovent tout contre mon pubis, elle ondule, me masse de son corps, je joui dans un soupir étouffé.