Lundi 9 mars
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09
/03
/Mars
16:05
Aujourd'hui, jour de ses 30 ans, je souhaite lui faire vraiment plaisir.. une strip-teaseuse à Pigalle sûrement, une jolie rousse choisie ensemble...
Je nous imagine déjà dans une étroite pièce avec pour unique décor des murs capitonnés pourpres, vieillis par le temps et rongés par la crasse, éclairés par de faibles lumières vacillantes permettant à peine de s'orienter jusqu'au fauteuil sombre trônant au centre. L'obscurité ainsi créée tente vainement de ne laisser apparaître aucunes traces de centaines d'inconnus venus ici se masturber sur les courbes de ses femmes, exutoire de fantasmes refoulés, et ce jusqu'à souiller de leur frustration fauteuil, murs et sol et imprégner plus encore l'air ambiant, traître olfactif transpirant d'obscénités.
Alors que le scénario érotique se précise dans mon imaginaire, je sens l'excitation s'emparer de moi : j'ai envie de baiser devant cette femme, devant le spectacle que nous offre son corps nus et ses alléchants déhanchés. Je visualise S. confortablement assis dans le fauteuil noir, le sexe durcissant entre mes mains, l'ombre mouvante du corps inconnu se reflétant dans ses yeux. Je m'imagine me plantant sur sa verge raidit. Je veux qu'il me baise, je me fous qu'il ne regarde qu'elle, elle peut l'exciter tant qu'elle veut derrière sa vitre, et elle à intérêt je la paye pour ça, il est à moi, sa bite est à moi, je le branle les yeux plongés dans son regard perdu entre la poitrine avantageuse et les fesses bombées que la "danseuse" soumet à sa vue. Je ne la veux pas "grosse", je sais qu'il aime la chair mais je la veux fine, de jolies hanches bien marquées, avec de gros seins et un gros cul, musclée et charnue, dotée d'une silhouette sensuelle et généreuse, qu'elle me plaise à moi aussi..
" On dîne ici ? "
(A échafauder mon projet coquin j'en avais oublié la faim !)
" Ok "
Durant le dîner je lui fais part de mes errances quand à la suite de notre soirée, il aime l'idée, cette petite ballade dans le Quartier Rouge parisien lui a sûrement aussi stimulé l'imagination.. Je lui demande s'il connaît un lieu qui répondrait à nos attentes.
" Non mais il suffira que tu demandes ! "
Déconnectée de la réalité, je me retrouve maintenant un peu dépourvue face à elle en m'imaginant m' adresser à l'inconnu derrière son comptoir : " Bonsoir, nous aimerions louer les service de l'une de vos danseuses mais est-il possible que nous baisions devant-elle ? " Mon malaise provient bien plus d'une peur de ne pas sembler naturelle en posant cette question que d'une honte de nos moeurs.
Se doutant de l'état d'esprit dans lequel il vient de me plonger S. me suggère de ne demander qu'une danse à l'entrée puis de glisser le billet à la demoiselle afin qu'elle nous autorise à nous ébattre devant elle. Ce petit arrangement me convient bien mieux mais n'ôte pas totalement mon anxiété.
Je nous imagine déjà dans une étroite pièce avec pour unique décor des murs capitonnés pourpres, vieillis par le temps et rongés par la crasse, éclairés par de faibles lumières vacillantes permettant à peine de s'orienter jusqu'au fauteuil sombre trônant au centre. L'obscurité ainsi créée tente vainement de ne laisser apparaître aucunes traces de centaines d'inconnus venus ici se masturber sur les courbes de ses femmes, exutoire de fantasmes refoulés, et ce jusqu'à souiller de leur frustration fauteuil, murs et sol et imprégner plus encore l'air ambiant, traître olfactif transpirant d'obscénités.
Alors que le scénario érotique se précise dans mon imaginaire, je sens l'excitation s'emparer de moi : j'ai envie de baiser devant cette femme, devant le spectacle que nous offre son corps nus et ses alléchants déhanchés. Je visualise S. confortablement assis dans le fauteuil noir, le sexe durcissant entre mes mains, l'ombre mouvante du corps inconnu se reflétant dans ses yeux. Je m'imagine me plantant sur sa verge raidit. Je veux qu'il me baise, je me fous qu'il ne regarde qu'elle, elle peut l'exciter tant qu'elle veut derrière sa vitre, et elle à intérêt je la paye pour ça, il est à moi, sa bite est à moi, je le branle les yeux plongés dans son regard perdu entre la poitrine avantageuse et les fesses bombées que la "danseuse" soumet à sa vue. Je ne la veux pas "grosse", je sais qu'il aime la chair mais je la veux fine, de jolies hanches bien marquées, avec de gros seins et un gros cul, musclée et charnue, dotée d'une silhouette sensuelle et généreuse, qu'elle me plaise à moi aussi..
" On dîne ici ? "
(A échafauder mon projet coquin j'en avais oublié la faim !)
" Ok "
Durant le dîner je lui fais part de mes errances quand à la suite de notre soirée, il aime l'idée, cette petite ballade dans le Quartier Rouge parisien lui a sûrement aussi stimulé l'imagination.. Je lui demande s'il connaît un lieu qui répondrait à nos attentes.
" Non mais il suffira que tu demandes ! "
Déconnectée de la réalité, je me retrouve maintenant un peu dépourvue face à elle en m'imaginant m' adresser à l'inconnu derrière son comptoir : " Bonsoir, nous aimerions louer les service de l'une de vos danseuses mais est-il possible que nous baisions devant-elle ? " Mon malaise provient bien plus d'une peur de ne pas sembler naturelle en posant cette question que d'une honte de nos moeurs.
Se doutant de l'état d'esprit dans lequel il vient de me plonger S. me suggère de ne demander qu'une danse à l'entrée puis de glisser le billet à la demoiselle afin qu'elle nous autorise à nous ébattre devant elle. Ce petit arrangement me convient bien mieux mais n'ôte pas totalement mon anxiété.
Présentation
- : Le blog de G. et S.
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- : un jeune couple très libéré, G. est âgée de 22ans et S. de 29.nous aimons: soumission et domination,exhib,Elle aime être dominée mais parfois elle soumet son homme...elle aime montrer son petit cul et aime glisser ses petits seins de Lolita dans ses grandes mains rugueuses pour l'exciter...elle recherche aussi une douce bouche de fille pour l'initier au cunnilingus entre fille sous les yeux de son homme...
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