Lundi 11 mai
1
11
/05
/Mai
15:45
..mes dessous sont à vendre : DessouS SucréS
SaléS..
S. & G.
- : Le blog de G. et S.
-
- : un jeune couple très libéré, G. est âgée de 22ans et S. de 29.nous aimons: soumission et domination,exhib,Elle aime être dominée mais parfois elle soumet son homme...elle aime montrer son petit cul et aime glisser ses petits seins de Lolita dans ses grandes mains rugueuses pour l'exciter...elle recherche aussi une douce bouche de fille pour l'initier au cunnilingus entre fille sous les yeux de son homme...
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Vos Scénarios
Nous attendons vos Scénarios !!
Les plus inspirés...et inspirants...
Nous les réaliserons et vous ferons parvenir l'intégralité de la scéance photo, tandis que sur le blog il n'y en aura qu'une petite partie...
A vos mail !
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Sous l'emprise du désir de...
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Lundi 4 mai
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04
/05
/Mai
15:11
Jeu de cache-cache entre les ruines d'un camping abandonné et les rayons du soleil..
ruines ensoleillées
Lundi 9 mars
1
09
/03
/Mars
16:05
Aujourd'hui, jour de ses 30 ans, je souhaite lui faire vraiment plaisir.. une strip-teaseuse à Pigalle sûrement, une jolie rousse choisie ensemble...
Je nous imagine déjà dans une étroite pièce avec pour unique décor des murs capitonnés pourpres, vieillis par le temps et rongés par la crasse, éclairés par de faibles lumières vacillantes permettant à peine de s'orienter jusqu'au fauteuil sombre trônant au centre. L'obscurité ainsi créée tente vainement de ne laisser apparaître aucunes traces de centaines d'inconnus venus ici se masturber sur les courbes de ses femmes, exutoire de fantasmes refoulés, et ce jusqu'à souiller de leur frustration fauteuil, murs et sol et imprégner plus encore l'air ambiant, traître olfactif transpirant d'obscénités.
Alors que le scénario érotique se précise dans mon imaginaire, je sens l'excitation s'emparer de moi : j'ai envie de baiser devant cette femme, devant le spectacle que nous offre son corps nus et ses alléchants déhanchés. Je visualise S. confortablement assis dans le fauteuil noir, le sexe durcissant entre mes mains, l'ombre mouvante du corps inconnu se reflétant dans ses yeux. Je m'imagine me plantant sur sa verge raidit. Je veux qu'il me baise, je me fous qu'il ne regarde qu'elle, elle peut l'exciter tant qu'elle veut derrière sa vitre, et elle à intérêt je la paye pour ça, il est à moi, sa bite est à moi, je le branle les yeux plongés dans son regard perdu entre la poitrine avantageuse et les fesses bombées que la "danseuse" soumet à sa vue. Je ne la veux pas "grosse", je sais qu'il aime la chair mais je la veux fine, de jolies hanches bien marquées, avec de gros seins et un gros cul, musclée et charnue, dotée d'une silhouette sensuelle et généreuse, qu'elle me plaise à moi aussi..
" On dîne ici ? "
(A échafauder mon projet coquin j'en avais oublié la faim !)
" Ok "
Durant le dîner je lui fais part de mes errances quand à la suite de notre soirée, il aime l'idée, cette petite ballade dans le Quartier Rouge parisien lui a sûrement aussi stimulé l'imagination.. Je lui demande s'il connaît un lieu qui répondrait à nos attentes.
" Non mais il suffira que tu demandes ! "
Déconnectée de la réalité, je me retrouve maintenant un peu dépourvue face à elle en m'imaginant m' adresser à l'inconnu derrière son comptoir : " Bonsoir, nous aimerions louer les service de l'une de vos danseuses mais est-il possible que nous baisions devant-elle ? " Mon malaise provient bien plus d'une peur de ne pas sembler naturelle en posant cette question que d'une honte de nos moeurs.
Se doutant de l'état d'esprit dans lequel il vient de me plonger S. me suggère de ne demander qu'une danse à l'entrée puis de glisser le billet à la demoiselle afin qu'elle nous autorise à nous ébattre devant elle. Ce petit arrangement me convient bien mieux mais n'ôte pas totalement mon anxiété.
Je nous imagine déjà dans une étroite pièce avec pour unique décor des murs capitonnés pourpres, vieillis par le temps et rongés par la crasse, éclairés par de faibles lumières vacillantes permettant à peine de s'orienter jusqu'au fauteuil sombre trônant au centre. L'obscurité ainsi créée tente vainement de ne laisser apparaître aucunes traces de centaines d'inconnus venus ici se masturber sur les courbes de ses femmes, exutoire de fantasmes refoulés, et ce jusqu'à souiller de leur frustration fauteuil, murs et sol et imprégner plus encore l'air ambiant, traître olfactif transpirant d'obscénités.
Alors que le scénario érotique se précise dans mon imaginaire, je sens l'excitation s'emparer de moi : j'ai envie de baiser devant cette femme, devant le spectacle que nous offre son corps nus et ses alléchants déhanchés. Je visualise S. confortablement assis dans le fauteuil noir, le sexe durcissant entre mes mains, l'ombre mouvante du corps inconnu se reflétant dans ses yeux. Je m'imagine me plantant sur sa verge raidit. Je veux qu'il me baise, je me fous qu'il ne regarde qu'elle, elle peut l'exciter tant qu'elle veut derrière sa vitre, et elle à intérêt je la paye pour ça, il est à moi, sa bite est à moi, je le branle les yeux plongés dans son regard perdu entre la poitrine avantageuse et les fesses bombées que la "danseuse" soumet à sa vue. Je ne la veux pas "grosse", je sais qu'il aime la chair mais je la veux fine, de jolies hanches bien marquées, avec de gros seins et un gros cul, musclée et charnue, dotée d'une silhouette sensuelle et généreuse, qu'elle me plaise à moi aussi..
" On dîne ici ? "
(A échafauder mon projet coquin j'en avais oublié la faim !)
" Ok "
Durant le dîner je lui fais part de mes errances quand à la suite de notre soirée, il aime l'idée, cette petite ballade dans le Quartier Rouge parisien lui a sûrement aussi stimulé l'imagination.. Je lui demande s'il connaît un lieu qui répondrait à nos attentes.
" Non mais il suffira que tu demandes ! "
Déconnectée de la réalité, je me retrouve maintenant un peu dépourvue face à elle en m'imaginant m' adresser à l'inconnu derrière son comptoir : " Bonsoir, nous aimerions louer les service de l'une de vos danseuses mais est-il possible que nous baisions devant-elle ? " Mon malaise provient bien plus d'une peur de ne pas sembler naturelle en posant cette question que d'une honte de nos moeurs.
Se doutant de l'état d'esprit dans lequel il vient de me plonger S. me suggère de ne demander qu'une danse à l'entrée puis de glisser le billet à la demoiselle afin qu'elle nous autorise à nous ébattre devant elle. Ce petit arrangement me convient bien mieux mais n'ôte pas totalement mon anxiété.
Lundi 9 mars
1
09
/03
/Mars
16:00
Le dîner se termine et nous déambulons à nouveau le long de l'avenue, attirés par l’odeur de sexe qui émane des rideaux pourpres, qui ne semblent eux-même plus
vouloir cachés le vice tapis derrière, et comme assujettis par les enseignes néons Sex Shop, Strip-Tease, Sexe, Nue, Show, Gay. Jusqu’à ce que l’un d’entre eux capte notre attention
Ciné Couple.
Nous sortons de notre léthargie et nos sens s’éveillent à nouveau, afin de commencer en douceur notre soirée érotique nous décidons d’aller mater un film X dans une salle déjà peuplée d’inconnus, je m’imagine des couples en train de baiser dans la salle obscure, leurs soupirs de plaisir se mélangeant à ceux des actrices porno. Les rideaux pourpres nous glissent à l’intérieur. La ville n’existe plus, ce minuscule Sex Shoppourrait être celui de n’importe quelle ville, à l’intérieur nous sommes envahis par des vidéos, des bras d’un mètre –je me souviens m’être, une fois de plus, étonnée de la capacité des anus à s’ouvrir lors d’un fist alors que ma petite main se glisse difficilement dans celui de S.-, des plugs et godes en tout genre, des poupées gonflables, l’endroit est surchargé et dans tout ce bazar un homme noir attend derrière son comptoir.
Je lis ‘Ciné 10€’ au dessus de sa tête, je devine aussi un escalier en colimaçon au fond à gauche avant de découvrir une pancarte ‘ciné’ avec une grosse flèche rouge indiquant de monter à l’étage. S. me signale d’un regard qu’il est temps que je prenne les choses en main. Je lui souris gênée, il devine, je me dirige vers l’homme.
" Bonsoir, nous aimerions deux places pour le cinéma ".
" C’est 10€ pour le couple "
" Ok "
Il me tend le ticket et en le saisissant je lui glisse un discret merci.
" Vous pouvez sortir et revenir plus tard grâce au ticket. "
" D’accord merci ". Je me retourne vers S., il me sourit, nous montons.
La dernière marche du petit escalier à peine franchie je me retrouve plongée dans le noir, aveuglée par les gros plans de bites et de chattes projetés par le grand écran au fond de la pièce. La pièce est minuscule 4 rangs peut-être séparés en 2 par l'allée centrale dans laquelle j’évolue tout doucement, ma vue se fait à l'obscurité et je devine des places de 2 de chaque coté, chaque rang est occupé par un homme seul, pas de couple, je sens que ma présence les a fait arrêter de se branler, ils me regardent, je devine leur bite bien bandée entre leurs mains. Les seules places restantes sont au premier rang fortement éclairé, deux fauteuils pivotants semblent nous attendre, nous nous asseyons, un homme nous regarde, je le distingue plutôt bien, il agite sa bite énergiquement, je me penche sur S. et commence à le caresser, je glisse mes doigts le long de son sexe à travers son jean et lui me glisse tendrement à l’oreille " tu as compris que tu étais l’attraction de la soirée ? ". En effet ces hommes sont plutôt âgés et seuls, je suis jeune, fine et plutôt jolie, ils le devinaient dans l’obscurité et maintenant ils peuvent facilement me mater..
Je sais que S. est exciter par cette situation, il aime le contraste de ma fragilité face à ces obsédés, il aime savoir ma peau douce coller au cuir du fauteuil crade, il aime que je fasse bander tous ces mecs et je ressens la même excitation.
Nous nous déshabillons mutuellement, nous nous caressons, je ferme les yeux alors qu'il m'embrasse tout en savourant ces mains sur mon corps maintenant nu au milieu de ces hommes, je le prends dans ma bouche en sachant pertinemment que le mouvement d'aller-retour que fera ma tête depuis la base de son pénis jusqu'à son gland suscitera une vive excitation chez 'les autres'.
Je deviens à cet instant la petite salope qui vient ici sucer de la queue..
S. est maintenant assez dur pour qu'il se plante en moi, j'ai envie qu'il me baise dans cette atmosphère sordide, je me redresse et lui susurre de venir, il se met à genoux, me tire par les cuisses et glisse entre elles. Que c'est bon, je suis trempée, je suis très excitée, je fais abstraction du reste, j'entends seulement l'écran qui profère des saloperies comme si elles m'étaient destinées.. Les hommes se rapprochent, celui qui était près de nous s'est levé et se masturbe dans le dos de S., les autres s'alignent en espérant peut-être que leur tour viendra.
Nous sortons de notre léthargie et nos sens s’éveillent à nouveau, afin de commencer en douceur notre soirée érotique nous décidons d’aller mater un film X dans une salle déjà peuplée d’inconnus, je m’imagine des couples en train de baiser dans la salle obscure, leurs soupirs de plaisir se mélangeant à ceux des actrices porno. Les rideaux pourpres nous glissent à l’intérieur. La ville n’existe plus, ce minuscule Sex Shoppourrait être celui de n’importe quelle ville, à l’intérieur nous sommes envahis par des vidéos, des bras d’un mètre –je me souviens m’être, une fois de plus, étonnée de la capacité des anus à s’ouvrir lors d’un fist alors que ma petite main se glisse difficilement dans celui de S.-, des plugs et godes en tout genre, des poupées gonflables, l’endroit est surchargé et dans tout ce bazar un homme noir attend derrière son comptoir.
Je lis ‘Ciné 10€’ au dessus de sa tête, je devine aussi un escalier en colimaçon au fond à gauche avant de découvrir une pancarte ‘ciné’ avec une grosse flèche rouge indiquant de monter à l’étage. S. me signale d’un regard qu’il est temps que je prenne les choses en main. Je lui souris gênée, il devine, je me dirige vers l’homme.
" Bonsoir, nous aimerions deux places pour le cinéma ".
" C’est 10€ pour le couple "
" Ok "
Il me tend le ticket et en le saisissant je lui glisse un discret merci.
" Vous pouvez sortir et revenir plus tard grâce au ticket. "
" D’accord merci ". Je me retourne vers S., il me sourit, nous montons.
La dernière marche du petit escalier à peine franchie je me retrouve plongée dans le noir, aveuglée par les gros plans de bites et de chattes projetés par le grand écran au fond de la pièce. La pièce est minuscule 4 rangs peut-être séparés en 2 par l'allée centrale dans laquelle j’évolue tout doucement, ma vue se fait à l'obscurité et je devine des places de 2 de chaque coté, chaque rang est occupé par un homme seul, pas de couple, je sens que ma présence les a fait arrêter de se branler, ils me regardent, je devine leur bite bien bandée entre leurs mains. Les seules places restantes sont au premier rang fortement éclairé, deux fauteuils pivotants semblent nous attendre, nous nous asseyons, un homme nous regarde, je le distingue plutôt bien, il agite sa bite énergiquement, je me penche sur S. et commence à le caresser, je glisse mes doigts le long de son sexe à travers son jean et lui me glisse tendrement à l’oreille " tu as compris que tu étais l’attraction de la soirée ? ". En effet ces hommes sont plutôt âgés et seuls, je suis jeune, fine et plutôt jolie, ils le devinaient dans l’obscurité et maintenant ils peuvent facilement me mater..
Je sais que S. est exciter par cette situation, il aime le contraste de ma fragilité face à ces obsédés, il aime savoir ma peau douce coller au cuir du fauteuil crade, il aime que je fasse bander tous ces mecs et je ressens la même excitation.
Nous nous déshabillons mutuellement, nous nous caressons, je ferme les yeux alors qu'il m'embrasse tout en savourant ces mains sur mon corps maintenant nu au milieu de ces hommes, je le prends dans ma bouche en sachant pertinemment que le mouvement d'aller-retour que fera ma tête depuis la base de son pénis jusqu'à son gland suscitera une vive excitation chez 'les autres'.
Je deviens à cet instant la petite salope qui vient ici sucer de la queue..
S. est maintenant assez dur pour qu'il se plante en moi, j'ai envie qu'il me baise dans cette atmosphère sordide, je me redresse et lui susurre de venir, il se met à genoux, me tire par les cuisses et glisse entre elles. Que c'est bon, je suis trempée, je suis très excitée, je fais abstraction du reste, j'entends seulement l'écran qui profère des saloperies comme si elles m'étaient destinées.. Les hommes se rapprochent, celui qui était près de nous s'est levé et se masturbe dans le dos de S., les autres s'alignent en espérant peut-être que leur tour viendra.
Mercredi 14 janvier
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/Jan
13:10
Il me veut poilue et de blanc vêtue, je m'éxécute, l'attente est longue
mais j'aime m'offrir à toi mon amour.. voir
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