Lendemain de cuite, je suis pris d'un besoin irrépressible de soumission.

Je m'approche de ma petite maîtresse et lui en fait part...elle soupire, renâcle.

Elle doit partir au boulot mais reviendra ce midi...pour s'occuper de moi j'espère...

Juste avant qu'elle ne parte j'ose : "j'aimerai que tu achètes un concombre pour me détruire le cul avec, ce midi"

interloquée elle me regarde, soupire à nouveau et me répond que je n'ai qu'à aller le chercher moi-même!

"Ce n'est pas pareil, cela va m'exciter de te savoir face à l'étal, choisissant soigneusement le concombre avec lequel tu va m'ouvrir!"

Un regard en coin, "on verra" me répond-elle

Elle me laisse dans le noir, nu le sexe raide, la tête pleine de désir pervers, je me branle imaginant le traitement qu'elle va, j'espère !, m'infliger ce midi.

11h00, je me lève et rentre dans la douche, nu et bandant encore, je me suis branlé toute la matinée mais surtout sans me faire jouir, pour laisser grandir en moi cette excitation perverse. Mon érection se renforce encore tandis que je devisse le pommeau de la douche, je fais couler un filet d'eau tiède soutenu t approche le tuyau métallique de mon anus. J'enfonce dans mon cul le flexible, et sent le liquide chaud me remplir, distendant les parois de mon rectum. Excité, je sens l'eau me remplir l'anus, soudain la douleur me transperce le ventre, intolérable, je m'impose tout de même de continuer, plié en deux par les contractions. Mon anus se crispe rythmiquement, je me retiens jusqu'a la limite et violemment laisse mon rectum se vider. L'eau trouble envahi la douche tandis que mon anus palpite, libéré.

Je saisi à nouveau le tuyau et le replante plus profond encore dans mon trou du cul. Il y rentre sans peine, l'eau désormais rentre et ressort claire par cycle, mon sphincter déjà dilaté ne la retenant plus en moi.

J'écarte le tuyau et tâte mon anus, béant, chaud et palpitant.

Me voilà propre, prêt a ouvrir en grand mon cul a ma maitresse. J'espere que je n'ai pas fait tout ça pour rien, et qu'elle viendra me traiter comme je le mérite.

Je me rallonge touchant ma queue par intermittence, de crainte de jouir et de voir s'evacuer mes envies cochonnes.

12h00 mon téléphone sonne, je me jette dessus fébrile. Un SMS.d'Elle. : "je te veux allongé, nu, avec ton collier de chien"

Quelle excitation ! Elle va venir. Et s'occuper de moi.

12h20 Elle n'est pas là. Elle devrait déjà être là.

12h30 Toujours pas deux choix : soit cruelle elle m'a abandonné, soit elle est partie faire les courses.

12h35 Elle rentre. Le collier de cuir serre mon cou. Je suis nu allongé comme elle l'a réclamé. Ma queue tendue, palpitante.

Elle sa balade dans l'appartement ne s'occupe pas de moi, fait couler de l'eau. Va t'elle me laisser frustré ?

Elle rentre dans la chambre, je baise les yeux comme toujours et continue de me branler, elle aime me voir m'astiquer et l'exige à chaque fois.

Un choc sourd sur le lit, je jette un œil et blêmit.

Elle a fait les courses

.

Mon idée lui a plu manifestement.

Et même beaucoup plu !

Sur le lit un monstrueux concombre long d'au moins 35 cm et large, si large !

Jamais je ne pourrais introduire un tel calibre dans mon cul !

J’ai peur, c'est bon.

Elle s'approche encore douce, me touche je guide sa main sur ma gorge, amusée elle serre, j'étouffe, c'est bon.

Ses mains se promènent sur mon corps, elle est caressante pour l'instant, peu excitée...ses doigts se promènent sur ma queue, puis sur mes couilles qu'elle malaxe un peu plus fort maintenant.

Elle empaume mes testicules et les fait rouler dans sa main, tire dessus par petits coups sec. J'aime me faire travailler les couilles durement et je gémi, j'ondule les reins pour lui faire savoir mon plaisir.

Un doigt s'égare sur mon périnée, je gémi plus fort, j'ai tant envie qu'elle s'occupe de mon anus.

L’ongle gratte mon scrotum, écorche mes couilles, c'est si bon d'être livré aux mains de sa maîtresse.

Je suis entièrement nu, à l’exception de mon collier de chien, de chienne plutôt, et elle s'amuse de mon corps encore entièrement vêtu.

Elle déplace mon corps et commence à tater mon anus d'un doigt.

Elle pénètre brutalement une phalange a sec dans mon cul, je geins, a sec ça fait mal!

Elle s'amuse.

Je tends desesperement la langue, réclamant de lubrifier son doigt. Je sais que cette pratique, prendre dans ma bouche un doigt qui sort de mon cul, la dégoûte, mais elle s'exécute et me fait lécher le doigt qui va m'enculer. je suce passionnément...

Elle s'occupe à nouveau de mon cul. M'enfonce un doigt, brutalement, je sens l'intrus passer les barrières de mon sphincter. Elle commence un va et viens brutal. J'adore.

Elle insère un autre doigt dans mon cul de chienne et me travaille l'anus en force! C’est si bon. Mon regard se trouble tout au plaisir de ma soumission. Je supplie doucement: "encore"
Elle s'arête et me parle : (J’adore! Mon plaisir est multiplié quand elle décrit à mot crus ce qu'elle me fait.)

"Tu aimes ça ma petite chienne?"

je confirme

"Tu en veux encore hein ?"

"oui Maitresse s'il vous plait"

"Ouvre la bouche!"

humm quel plaisir je sais ce qu'elle va faire

j'ouvre la bouche docile

"tire la langue"

immédiatement je tends la langue aussi loin que possible

Elle s'approche, rassemble sa salive et sans cesser le va et vient de ses doigts dans mon cul me crache dans la bouche, déposant sur ma langue un paquet de salive. Elle se recule contemple le spectacle: moi, nu langue tirée loin, dégoulinant de saive

"Avale!"

l'ordre claque, j'avale avec délectation son crachat

"Merci Maîtresse"

Elle se concentre à nouveau sur mon trou du cul et y plante un autre doigt. Je demande fou d'excitation combien de doigt a t'elle en moi, elle me répond un petit sourire : "TROIS ! Tu aimes ça ?!"

hoo oui j'aime ça, j'adore ça.

Elle ouvre méthodiquement mon trou, crachant dessus régulièrement (hoo que c'est bon quand elle écarte mes fesses, examine mon trou et crache dessus !!!)




















la suite....demain....